Les sept principaux chakras
- wgrognierpsykho
- 18 févr. 2024
- 14 min de lecture

Sommaire
Introduction
Cette énergie qui nous entoure est captée par le cops grâce aux chakras. Ceux-ci sont au nombre de sept. Si on se limite aux principaux qui composent le corps éthérique. Ils se trouvent sur l’axe médian du corps : du périné au sommet du crâne. Dans leur taille, ils feraient approximativement dix centimètres de diamètre. Cette mesure est variable selon le degré d’énergie de la personne. Pareil à des entonnoirs dans leurs formes, il n’est pas surprenant que leur illustration soit celle d’une fleur de lotus, dont le nombre de pétales variera selon le chakra en question. Loin d’être statiques, ils effectuent en permanence un mouvement rotatif. Ce qui leur vaut le nom de chakra signifiant roue en sanskri. L’intention est ici de plonger plus en détail dans le tourbillon de ces capteurs énergétiques pour en voir les effets lorsque leurs potentiels sont au plus haut, au plus bas, ou désharmonisé.
Rôles et fonctions
Le mouvement se fait majoritairement pour eux du corps éthérique vers les corps supérieurs. Loin d’être anarchique, qu’il s’agisse d’une rotation dans le sens horaire ou anti-horaire, leur mouvement suit une certaine rigueur. Chaque chakra a son propre sens de rotation. Ceux présents sur le corps d’un homme sera l’exacte opposé des ceux présents sur celui d’une femme. Pour qu’ainsi s’opère une complémentarité des énergies.
Selon le principe du Yin et du Yang, tout un chacun possède en lui une énergie masculine et féminine. Aussi, pour les chakras :
Une rotation dans le sens horaire – serait une dominante masculine/Yang, représentant la violence, l’agressivité, la force et la mise en action ;
Une rotation dans le sens anti-horaire – serait une dominante féminine/Yin, représentant la vulnérabilité, l’accueil et l’empathie.
Pareil à des parties du corps physique pour le corps éthérique, les chakras perçoivent et intègrent les vibrations énergétiques, ainsi que toutes autres informations environnantes. Ce mouvement de l’extérieur vers l’intérieur n’est pas unilatéral. Tout autant qu’ils reçoivent de l’énergie, ils sont capables d’en émettre. Ce qui impactera l’énergie autour de l’individu.
Blocages énergétiques
Les pensées négatives, la captation d’informations de même nature, les stress, les peurs et les angoisses engendrent des tensions au plan du corps physique. Ces phénomènes impactant tous les corps. Le corps éthérique n’est donc pas épargné et les chakras emmagasinent ces blocages énergétiques. Ceci se produit lorsque les expériences de la vie, dans tout ce qu’elles ont de physique et sensitive poussent à oublier notre origine issue de la Création divine et surtout que cette connexion est toujours présente en tant que terriens.
Cet oubli n’est pas sans conséquence. La naissance induit paradoxalement l’unité et la séparation. Une place est prise dans le monde matériel et en même temps, l’être s’éloigne du monde immatériel. Cette séparation peut provoquer un vide intérieur que l’individu cherchera sans cesse à complet. Les stratégies seront diverses même si une répétition semble s’observer dans les comportements humains. Cet abandon vise à être comblé par : la possession de bien matériel, la recherche de la reconnaissance, de l’amour de l’autre, des réussites personnelles ou professionnelles qui offriraient une sensation de prestige et de hauteur. Tout ceci retiré, l’être est de nouveau confronté au vide intérieur, qu’il peut sentir physiquement par des douleurs ou des sensations que les mots peineraient à exprimer.
L’un des buts de l’incarnation serait de parvenir à reconnaître sa propre valeur, notamment par la reconnexion avec la source divine de l’univers. Ceci fait, le vide cèderait la place à un immense sentiment de joie et de confiance en toute chose.
Perceptions des blocages
Les moyens pour déterminer à quel(s) niveau(x) se trouvent le(s) blocage(s) sont multiples :
Voir la quantité de sommeil requis pour sentir sa pleine énergie disponible. Plus le temps de sommeil est long, le plus le premier chakra (racine) est affecté ;
Sentir le degré d’énergie du chakra en venant y poser sa main ;
Sentir l’endroit où se localise le stress en soi quand un événement perturbateur se produit ;
Percevoir ses chakras par un regard intérieur, une visualisation dans un temps de repos, de méditation ;
Faire appel à un intermédiaire capable de percevoir l’aura dans son entier et d’identifier les blocages.
Déblocages énergétiques
Ce déblocage peut se faire par la réharmonisation des chakras. Les outils pour y parvenir sont nombreux : couleurs ; sons ; pierres ; huiles essentielles ; mouvements par le yoga…
Ceux-ci libérés, leurs contenus et tous les bénéfices associés se révèlent à l’individu. Le temps et l’exercice offrant ses bénéfices, les circuits d’énergies se libèrent et alors le calme intérieur et le sentiment de joie envahissent le corps.
Chakras
Premier chakra – Muladhara

Situé au niveau du périnée, de couleur rouge, son illustration est le lotus à quatre pétales. Il est associé à l’élément terre.
Sa vocation est de relier l’individu au monde physique, à prendre contact avec la Terre et tout ce qu’elle représente de force, de courage et d’amour. Outre cette connexion à la nature c’est aussi un lien aux besoins individuels comme collectifs. Et mettre en action pour les satisfaire. Cela commence avec les besoins primaires : assurer sa survie par la nourriture et la reproduction de l’espèce. D’où la sexualité dans ce qu’elle a d’instinctive.
Chakra à son plus haut
Lorsque ce chakra est ouvert, l’être peut se sentir en communion avec la Terre et tout ce qui la compose (animal, végétal, minéral et humain). Une stabilité physique, comme dans les différents espaces de la vie s’instaure, offrant à la fois contentement et force vitale. Apte à l’écoute de ses besoins premiers, l’être est conscient de ses forces et vulnérabilités physiques. Ainsi, il sait lorsqu’il est bon de se mettre en mouvement ou de se reposer. Une connexion et une écoute du corps se met naturellement en place. La terre quitte sa dimension hostile pour devenir la source qui apporte tout ce dont l’être a besoin et pour cela, il parvient à exprimer sa gratitude.
Chakra à son plus bas
Le besoin de se rassurer, se protéger et d’assurer sa survie est fait en réaction aux peurs archaïques. Pour les rassurer, se sécuriser le désir sera fort de posséder physiquement, matériellement et de dominer (les éléments naturels comme ses pairs). Les plaisirs des sens, rapides et à court terme seront privilégiés. Le corps stressé, en tension aura tendance à provoquer des comportements d’irritabilité et d’agression en réponse à l’environnement (événements, personnes).
Chakra désharmonisé
L’énergie circulant mal, les ténacités physique et psychique seront limitées. Hypothèse faite d’une grande fatigue et de fatigabilité (épuisement à l’effort, même peu intense). La sensation de ne pas être vraiment présent, « dans les nuages », de manquer de motivation, de force intérieure et percevoir toute chose comme une épreuve à surmonter, sans vraiment en avoir les ressources. Tout aussi complexe que cela puisse être, l’enjeu est de parvenir à accepter les expériences vécues, comme une opportunité d’apprentissage et d’évolution.
Deuxième chakra – Svadhishthana

Situé entre le pubis et le nombril, de couleur orange, son illustration est le lotus à six pétales. Il est associé à l’élément eau.
Sa vocation est de faire circuler les émotions, l’énergie sexuelle et les potentiels créatifs. C’est le rapport à l’autre, plus spécifiquement avec le sexe opposé. C’est se défaire de la dimension corporelle de la sexualité pour la voir pour ce qu’elle est sur un autre plan : une opportunité de rencontre profonde, de communication, de former une unité sacrée.
Chakra à son plus haut
L’être est alors connecté à ses émotions, s’adapte aux mouvements naturels de l’existence et aux sentiments que cela véhicule en lui. La personnalité s’accepte et l’être s’autorise à être authentique, vrai face à lui-même et aux autres. L’expression émotionnelle est spontanée, vivante et les actions menées pleines de création.
Chakra à son plus bas
Cela renvoie souvent à la période de la puberté ou des remaniements physiques et psychiques s’opèrent. Il peut y avoir à ce moment, comme à tout âge, une dénégation de la sexualité, parfois compensée par un imaginaire florissant dans cette sphère. Des comportements d’intellectualisation viennent compenser le désinvestissement libidinal. A l’inverse, la sexualité peut être surinvestie, jusqu’à devenir compulsive. Dans un cas comme dans l’autre, les sentiments d’insécurité et de mal-être vis-à-vis du sexe opposé dominent.
Chakra désharmonisé
Cela renvoie souvent à la période de l’enfance où l’être a pu manquer de certaines stimulations sensorielles provoquant une déconnexion d’avec ses ressentis en grandissant. Les émotions endormies, la vie peut sembler triste, sans intérêt et l’être ne peut voir sa valeur personnelle.
Troisième chakra – Manipura

Situé au niveau du plexus solaire, de couleur jaune, son illustration est le lotus à dix pétales. Il est associé à l’élément feu.
Sa vocation est de permettre d’être connecté à ce qui se passe dans le monde, et à ceux qui l’habitent. L’intérêt est porté sur les relations sociales : familiales, amicales, sentimentales. Les liens qui s’instaurent peuvent durer dans le temps, de façon équilibrés et nourrissants. Un désir d’appartenance au groupe et à ses pairs relève aussi de ce chakra. Les expériences sont acceptées et vécues pour ce qu’elles sont : des expériences offrant l’opportunité d’intégrer ses émotions et ses désirs. Le clair-ressenti se développe et l’être réagit plus facilement à l’énergie de ceux qui sont à proximité.
Chakra à son plus haut
C’est l’opportunité de se sentir à sa place : connecté à la vie et à l’espace habité. C’est aussi l’acceptation de soi dans tout ce que cela implique. C’est-à-dire voir ses qualités et ses défauts comme des attributs de sa nature profonde, sans les juger. L’écoute de soi mène à l’écoute et au respect de l’entourage. L’être apparaît plus lumineux vu du dehors, resplendissant, animé d’un sentiment de force et de joie vibrant.
Chakra à son plus bas
Plutôt que d’accueillir la vie, le désir de contrôle sera fort. Ceci tant au plan du monde intérieur (ressentis et émotions) qu’à l’extérieur (contrôler les autres et les manipuler). Loin d’être calme, le mouvement intérieur induit au-dehors de l’agitation. Il est difficile de « lâcher prise » et de se détendre. Cette perspective à elle-seule peut entraîner un stress et tout vide dans le temps à venir demandera à être comblé pour se rassurer. Insatisfait au-dedans, l’être à besoin d’afficher une image de réussite, de prestige par ses possessions clinquantes. L’illusion peut être forte que par celles-ci, il est satisfait. Cependant, celle-ci ne dure jamais bien longtemps et alors, de nouvelles stimulations et possessions seront recherchées. Un processus incessant s’enclenche alors, jusqu’à épuisement, du corps.
Chakra désharmonisé
Toutes les épreuves perçues jusque-là, comme des obstacles à franchir et franchissables par la force et la détermination paressent désormais infranchissables. C’est le sentiment d’être sans ressources intérieurs et les symptômes dépressifs peuvent se présenter. La rétention de l’expression émotionnelle provoque un comportement calculé, mécanique, dénué d’émotions. L’inconnu dans tout ce qu’il englobe représente alors un profond stress provoquant l’inhibition, la fuite ou, si cela est impossible, un mal-être face à celui-ci.
Quatrième chakra – Anahata

Situé au niveau du cœur, de couleur vert, son illustration est le lotus à douze pétales. Il est associé à l’élément air.
Sa vocation est de permettre d’être touché physiquement et émotionnellement. C’est voir la beauté de la vie, son art et ses arts. L’amour est vécu dans un lien libre et inconditionnel. La tendresse plutôt que la dureté et la critique de soi devient possible. S’accepter menant à accepter les autres. Les événements sont perçus avec plus de distance pour voir au plan macroscopique ce qui se joue autour de soi et dans l’univers. Le cœur, l’amour à son meilleur offre un excellent potentiel de guérison de ses maux et de ceux qui rentrent en contact avec cette énergie. Aux antipodes de l’égoïsme, une ouverture, un amour et un don de soi sincère, justement mesuré s’instaure.
Chakra à son plus haut
Le potentiel de guérison n’en est qu’à son plus haut. L’émotion de joie est toujours présente, accompagnée d’une absence d’inimitié pour quoi ou qui que ce soit. Seule l’acceptation est prévalente. C’est l’expression de l’amour dans tout ce qu’elle a de vrai et sincère.
Chakra à son plus bas
Plusieurs tendances s’observent alors : donner encore et toujours jusqu’à l’épuisement, car coupé de la source d’énergie divine. Ce don, plutôt que d’être désintéressé, s’accompagne, sans qu’ils ne soient formulés, de désirs de reconnaissance et de valorisation, avec un fort sentiment de déception (abattement ; colère) si ceux-ci ne sont pas satisfaits. La coupure avec son amour propre fait qu’il devient difficile/impossible d’accepter et sentir l’amour qui est offert par les autres.
Chakra désharmonisé
Sans attache à sa propre valeur personnelle, la personne devient dépendante à l’estime des autres. Tout comportement d’abandon ou de rejet sera alors vécu avec une intensité qui fera « mal au cœur/corps ». Ce d’autant plus si le courage et l’audace auront été trouvés d’ouvrir son cœur à l’autre. Ce désir de compenser ce défaut d’amour propre créera une tendance à donner exagérément, et à qui que ce soit : des personnes connues ou inconnues. Le cœur blessé, les émotions intériorisées provoqueront un repli sur soi, pour éviter d’être plus blessé que l’être ne l’est déjà. Au plan affectif une froideur et une indifférence affectives peuvent prendre place. Le déséquilibre intérieur à son plus haut, c’est la dépression et son cortège de symptômes : tristesse ; fatigue ; repli sur soi ; comportement auto-agressif…
Cinquième chakra - Vishuddha

Situé au niveau de la gorge, de couleur bleu clair, son illustration est le lotus à seize pétales. Il est associé à l’élément Éther.
Sa vocation est de permettre l’expression, la communication et le souffle de l’être. Il est l’intermédiaire entre pensées, ressentis et actions. Est mis au-dehors tout ce qui est vécu au-dedans : rire, amour, joie, pleurs, cris, peurs, colère… Ainsi que les idées, prises de conscience et désirs. Siège de la parole est à exprimer par tous ses moyens : verbal, non-verbal, paraverbal. Outre l’expression, c’est aussi l’écoute : celle de sa voix intérieure et de tout ce que la vie souffle de messages par ses différents canaux. Par cette écoute intérieure, il est possible de se connecter à ses intuitons, venir toucher les raisons pour lesquels l’être s’est incarné. Quelles sont les expériences et missions qui lui reviennent pour s’élever ? Celles qui lui serviront à apprendre avant de pouvoir retransmettre ce savoir.
Chakra à son plus haut
L’expression libérée, il est possible de dire est de montrer, sans ombrage, ses sentiments, ses pensées et ses découvertes personnelles. L’acceptation de soi permet de s’autoriser à montrer ses forces et ses faiblesses Assuré qu’elles seront toutes acceptées. Une attitude authentique, vraie et faite de droiture se met naturellement en place. Le discours est coloré, imagé, pertinent et éclairé. Les temps faits d’écoute et de prise de parole sont justement répartis. L’assurance que ses ressentis sont justes fait qu’il est possible à la personne de s’affirmer, dire « non » quand c’est opportun et important pour lui. L’indépendance et l’autonomie sont profondément là avec un sentiment d’entièreté et de complétude.
Chakra à son plus bas
La connexion corps/esprit est alors perturbée. Pensées à ses émotions, y mettre des mots devient complexe. Les gestes ne sont pas toujours harmonisés avec les mots. Un manque de congruence est manifeste. C’est alors un défaut d’alignement entre ce qui est pensé, dit et fait. Les émotions et sentiments sont inhibés, refoulés, emprunts de culpabilité et d’anxiété, voire d’angoisse. Un masque est mis pour cacher sa vérité intérieure. Celui-ci pourra faire que la personne faire preuve de mutisme, ou au contraire d’une logorrhée ou les mots seront sans poids et déliés de tout sentiment. La prise de parole pourra se faire avec difficulté (bégaiements, oublis de mots…) ou violence (insultes, mots durs). Le besoin de montrer sa force est à la hauteur du sentiment d’insécurité intérieur. Le corps est en tension permanente, prêt à faire face aux attaques (celles autres et de la vie). La connaissance de ce qui se joue en soit demeure possible sans qu’elle ne soit exprimée par peur d’être jugé, non-aimé, rejeté. Ce qui est refoulé, non exprimé, pourra trouver son salut dans déventuelless sublimations créatives.
Chakra désharmonisé
Il est alors complexe d’occuper le devant de la scène, ou même d’être le second (cette éminence grise). Vouloir se faire le plus petit possible, « disparaître » serait un idéal dans certaines situations. Ce besoin se manifestant par des comportements de repli et de fuite face à ces moments stressants. L’introspection, qu’elle soit possible ou non, laissera place à un discours fait de banalités de la vie courante, sans véritable profondeur. L’expression et la mise en mots ne sera pas toujours possible. Alors, ce sera pris d’une « boule dans la gorge » et d’une voix « serrée », éteinte que les mots sortiront. Celui qui fait face pouvant faire peur, sans raison apparente, il sera sécurisant d’adopter son point de vue, au jusqu’à ne plus savoir ce qui est bon pour soi.
Sixième chakra – Ajna

Situé entre les sourcils, de couleur bleu indigo, son illustration est le lotus à quatre-vingt-seize pétales. Il n’est pas concrètement associé à un élément car relié à l’Essence.
Sa vocation est de contenir et véhiculer la force mentale, intellectuelle, les capacité mnésiques et la détermination. Il permet la prise de conscience de ce qui est advenu et de ce qui advient pour s’en enseigner. La création physique est grandement facilitée. Tel un aimant capable d’attirer à soi ce qui est désiré. Les pensées et les désirs deviennent réalité. Ce en vertu du principe selon lequel : la réalité extérieure est le refait de ce qui se joue à l’intérieur. La coordination entre imagination et réalisation est à son plus juste. Les perceptions extra-sensorielles se développent à mesure que ce chakra s’ouvre.
Chakra à son plus haut
La conscience est des plus ouverte aux expériences et à la vie elle-même. L’esprit est vif dans ses perceptions et raisonnements. La faculté à chercher et à considérer les informations se fait de manière globale et approfondie. C’est là un désir profond de connaissance des lois qui régissent l’univers. La visualisation est à son meilleure. Les choses sont très rapidement comprises et intégrées. Les aptitudes cognitives sont très développées sans endiguer la sensibilité aux vérités plus spirituelles. Cette aptitude à voir ce qui est pour l’instant absent le fait advenir (pensée créatrice et loi de l’attraction actives). Les perceptions extra-sensorielles sont toujours présentes voire grandissantes.
Chakra à son plus bas
Dans ces circonstances, il peut être possible d’évoquer l’expression « avoir la grosse tête ». L’humilité vécue par les savoirs acquises des différents plans de connaissance cède le pas à une trop haute estime de soi et de ses compétences intellectuelles qui demeurent aiguisées. Le souci de maîtriser et de connaître par le plan intellectuel sera le seul biais possible. Sans ouverture d’esprit à d’autres que celles empiriques et cartésiennes. Cette force mentale viendra créer une déconnexion d’avec les autres parts de soi plus sensibles. En viendra alors l’isolement contraint pour affronter le sentiment d’un égo qui dépasse ceux des autres. Le contact et le lien social sont rompus, au profit d’une impression de ne plus vraiment appartenir à cette réalité. Ou encore d’adhérer, sans les remettre en question à des idées venues du mental, comme de sources plus intuitives. Le stress fait « perdre la tête ». Les aptitudes cognitives se restreignent : les idées, les pensées et la capacité à les organisées se perd. Des troubles visuels peuvent aussi être subis.
Septième chakra – Sahasrara

Situé au sommet du crâne, de couleur violet, son illustration est le lotus à mille pétales. Il n’est pas concrètement associé à un élément car relié à l’Essence pure.
Il est le siège de l’accomplissement et de la félicité. Ceux qui peuvent être trouvé dans le don de soi et la présence à soi.
Chakra à son plus haut
Un contact est ressenti de façon permanente entre la vie en soi et celle au-dehors. L’état intérieur et tout ce qui le compose est parfaitement calme. Ce silence offrant la connexion à son soi authentique, vrai, détaché de tout cet égo, cette personnalité en « faux self ». Cette avancée peut se faire pas à pas, ou spontanément si l’être est prêt. Alors, une sensation d’éveille s’opère. Jusque-là endormi, l’être se réveille et s’élève. Les gens ressentent cette lumière et cette énergie d’amour qui se dégage de lui. Les connaissances inaccessibles par le passé se manifeste par tous canaux (intuitions, synchronicités, messages sensoriels).
Chakra à son plus bas
La peur qui a pu se libérer revient sur le devant de la scène et empêche. Les potentiels développés s’amenuissent et des moments de doute et d’errance sans but précis se présentent. Pour faire face à ce ressenti, des stratégies compensatrices d’accroissement de l’activité (hyperactivité), et de mouvements (agitation motrices ou mentale) peuvent servir à anesthésier les parts de soi en souffrance. Tout cela jusqu’à ce que le corps, trop fatigué impose le repos par quelques maux et maladies.
Conclusion
Des énergies en soi, des énergies autour de soi et pourtant tout cela ne fait qu’un. Plus l’être apprend de ses expériences, fait un travail intérieur par des ressources intérieures ou extérieures, plus il grandit. Au fur et à mesure, ses chakras, ses centres d’énergies s’ouvrent, captent et transmutent des énergies plus hautes pour en tirer somme de bénéfices. En partant du périnée vers le sommeil du crâne, les préoccupations passent de matérielles et physiques à spirituelles jusqu’à trouver un équilibre intérieur et une unification de ses parts de soi. Après-tout, l’être demeure humain, avec tout ce que la dimension d’incarnation implique de limitations comme de possibles. A mesure que le chemin de la vie est parcouru, l’opportunité est faite de s’enseigner puis d’enseigner, de mettre de côté la part de soi fausse et égotique au profit de celle qui est authentique, réelle. Faire que le donner et recevoir trouve un juste équilibre, au même titre que les énergies qui circulent en son for intérieur.
Pour aller plus loin
Parti pris ici de ne pas rentrer dans le détail des pratiques et outils permettant d'aller vers l'harmonisation des chakras, dans son désir d'y travailler, le lecteur est invité à lire l'article suivant : https://kurma.ch/blog/les-chakras/ (En ligne)
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